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 Now you listen me ! • Sterek

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Stiles Stilinski
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A BH DEPUIS LE : 19/09/2013
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Stiles Stilinski
MessageSujet: Now you listen me ! • Sterek   Now you listen me ! • Sterek Icon_minitimeJeu 6 Fév - 17:48




Now you listen me !


Ne vois-tu donc pas que soit toi je ne suis plus rien ? Que sans toi c'est ma fin ? Je t'en supplie regarde moi juste une fois et ose me dire que tu n'as pas besoin de moi. Moi j'ai besoin de toi car je ne suis plus rien sans toi.




Deux semaines, deux foutues et maudites longues semaines. Deux semaines à essayer de survivre, à essayer de te survivre pour être exact. Bon pour être exact c'était plutôt dix jours. Les choses auraient dues être différentes, mais tu avais imposé ta façon de voir les choses, ta vision de ce couple. Couple... J'étais même pas sur qu'on puisse réellement dire qu'on ait put nous définir ainsi. Tu me fuyais pire que la peste ou plutôt du tue loup. Ma patience arrivait à bout, moi j'étais à bout physiquement parlant. C'est à peine si me lever de mon lit ne relevait pas d'un miracle. Des jours durant suite à la pleine lune j'étais demeuré alité, alors que les traces de cette union s’effaçait de mon corps. Ce n'était pas tant la douleur physique la plus dure à encaisser, c'était mon mental qui lui ne suivait plus et était aux abois. Mon propre père inquiet n'avait osé me demander de quoi il en retournait. Je le voyais bien, il rentrait même plus tôt et emmenait à la maison ses dossiers pour veiller. Certainement par peur que je fasse une connerie, l'ultime. J'en voulais guère au loup, lui si prompt à m'accepter c'était à toi seul et à toi seul que j'en tenais rigueur. Tu ne répondais ni aux appels, ni aux messages, encore moins à mes mails et lorsque je passais mystérieusement tu n'étais jamais là. Tu refusais d'entendre mon avis sur la question alors que j'étais le principal concerné, ironique non ?

Finalement je m'étais efforcé d'aller au lycée, me sentant oppressé par les murs de ma chambre. J'avais rattrapé mes devoirs, penser à autres choses me faisait grand bien. Malheureusement j'avais même prit de l'avance si bien que encore ce soir je me retrouvais assit prêt de la fenêtre, alors que le soleil déclinait tablette en main. Relevant mon regard intrigué par un jeu de lumière orangé, je me rendis compte que l'astre solaire faisait miroiter ce bocal rempli d'une poudre noire. Sorbier, barrière magique à l'encontre de créature surnaturelle. Naturellement la définition c'était inscrite dans mon esprit et encore une fois mon cerveau emprunta un raccourci vers toi. Tout tendait à me relier à toi. Cependant cette fois-ci ceci me fit bondir. Chancelant je me rattrapais au mur. Si tu refusais de rester dans la même pièce, j'allais devoir t'y forcer. Nous l’aurions cette discussion de gré ou de force. Fourrant dans mon sac le bocal, je fonçais le plus rapidement possible vers l’entrepôt. Se fut Peter qui m'ouvris et il me précisait l'absence de son neveu. Exhibant fièrement mon trophée, j'eux le droit à un sourire ho combien flippant de l'ancien alpha. Ton oncle semblait prompt à m'aider dans ma tache. Fermant les yeux, me concentrant comme la première fois j'effectuais le contour de la pièce, laissant l'entrée sans poudre. Restait plus qu'à prier pour ton retour et anxieux j'arpentais la pièce, attendant le signal de Peter qui tentait de me faire la conversation.

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MessageSujet: Re: Now you listen me ! • Sterek   Now you listen me ! • Sterek Icon_minitimeVen 7 Fév - 21:09






Excusez-moi, je me trouve pas cet article. Grognais-je en mettant l’article en question devant les yeux de la femme, refreinant la pulsion primaire du meurtre qui tordait mes entrailles. Ma seule envie s’était réduite à sortir de cet endroit, toute motivation envoler. L’employée dans un énième essai appelait ses collègues pour avoir du soutien face à la fureur de mon loup et à mon impatience. Retenant avec peine le grognement qui roulait le long de ma gorge pour claquer contre l’air, je lui arrachais le journal des mains, balaient toute discussion inutile d’un Je me débrouillerais. , disparaissant dans les allés. Je baissais le regard vers mes achats alors qu’ils passaient sous les mains fraichement manucurée de la caissière. Son odeur irritait mes facteurs olfactifs mais je conservais mon sourire charmeur quelque peu grimacée. Heureusement, ou malheureusement, la caissière ne le vit pas et continuait à sous-entendre un certain intérêt pour ma personne. Je préférais ignorer le frissonnement qui l’animait à chaque fois que ma peau rencontrait la sienne, continuant juste de remplir mon sac en silence. Fourrant dans ce dernier le numéro de la femme, je m’échappais vite de ce bâtiment, soufflant pour ma liberté retrouvée. M’effaçant dans l’habitacle de ma voiture, je me donnais trois minutes pour faire redescendre la rage qui grondait en moi. Une de plus me fut obligée pour reprendre la maîtrise sur le loup et faire disparaître toutes traces physiques de ma bestialité.

Quand cela fut, je démarrais ma voiture, m’offrant un son sonore sur de vieilles chansons qui me rendait pour le moins nostalgique. Soupirant en arrivant à l’entrepôt, je m’imaginais un instant le passé aisé que j’avais vécu, entouré d’une meute, de ma famille. Sortant, je refermais tous ces souvenirs qui me rendaient faible derrière les barrières de protections que j’avais dressées. Je retrouvais mon masque de froideur pour prendre mon sac, me dirigeant vers l’entrepôt. Mais une odeur, ton odeur, à nouveau, me fit me figer. Oh non. J’avais pu t’éviter le plus possible mais pas si tu me piégeais dans ma propre maison. Cela me rappelait étrangement un ancien jour. Posant mon sac vers la cuisine avant de me diriger vers le salon où je t’y retrouvais en compagnie de Peter. Pourquoi je ne le sentais pas ce coup-ci ? M’approchant de toi, mon regard fut ancré dans le tien,  cherchant à découvrir tes intentions. Je vous laisse, j’ai un rendez-vous ! Fit alors mon oncle. Et ce fut que lorsque j’entrevis la main gantée de Peter que je comprenais.  Ma main aussitôt partit à la rencontre de celle de mon oncle mais fut retenu par la barrière de sorbier fermé. Me rendant compte de l’importance de cette situation en entendant la porte principale se fermée, à clef, je pris un instant peur. Dans un geste vif, je me retournais vers toi, te lançant un regard sombre et menaçant alors que j’essayais tant bien que mal de reculer, de briser ce cercle dans lequel j’étais condamné. Je ne baisserais pas les bras, jamais. Brise le cercle tout de suite Stiles ! Grognais-je en ordre, lui lançant un regard teinté de bleu mais tout aussi menaçant. J’avais peur mais je ne l’avouerais jamais.



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Stiles Stilinski
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Stiles Stilinski
MessageSujet: Re: Now you listen me ! • Sterek   Now you listen me ! • Sterek Icon_minitimeDim 9 Fév - 19:16




Now you listen me !


Ne vois-tu donc pas que soit toi je ne suis plus rien ? Que sans toi c'est ma fin ? Je t'en supplie regarde moi juste une fois et ose me dire que tu n'as pas besoin de moi. Moi j'ai besoin de toi car je ne suis plus rien sans toi.



Regarde toi, regarde nous franchement. Etre obligé d'en venir à te piéger pour que tu daignes enfin me parler, que tu ne daignes pas quitter la pièce dans laquelle je me trouve, me fuyant depuis ce fameux soir. Dans le fond de nous deux qui préservais tu vraiment hein ? Toi ou moi ? L'intention était peut-être de me protéger, mais l'enfer lui même en était pavé. Résultat, tu faisais tout le contraire de ton but premier. Tu me détruisais de part ton silence, ton absence et ton dégoût de ma personne. Terminé le Stiles qui encaissé, conserve le sourire et lorsqu'on lui demande si tout va bien il ellipse avec une blague de son cru. J'étais las, usé, écorché avec toi. La seule force que je possédais encore aujourd'hui vis à vis de toi était un ultime espoir. Celui de te secouer une bonne fois pour toute, t'ouvrir les yeux et te démontrer que tu me perdais. Comme le disais cette chanson ne m'enterre pas, ne me laisse pas tomber, ne me dis pas que c'est terminé. Comment pourrais-tu me dire que c'est terminé alors que j'avais l'impression que rien entre nous n'avait débuté. Tu leur avais laisser leurs chances à elles et à moi tu refusais ? N'avais-je pas prouver ma valeur maintes et maintes fois auprès de toi ? Ne t'avais-je pas privilégier ? Peut-être étais-ce cela qui t'effrayais dans le fond. Te rendre compte que pour une fois la personne en face de toi, tenait grandement à toi. Ne s'imposais aucune limite, que ça soit par l'âge ou par notre nature respective. Relevant le regard je croyais celui inquisiteur de Peter, un sourire triste naquit sur ses lèvres. J'avais l'impression que parfois ton oncle lisait en moi. Doté du même sarcasme je m'effrayais à me dire qu'on se ressemblait. Il se redressait et je compris que l'heure de la confrontation était de mise.

Mon regard partait à la rencontre du tiens, puis je relevais mon regard vers Peter en guise de remerciement silencieux alors qu'il hochait la tête avec un sourire victorieux. Un plan finement mené, j'allais en payé le prix fort. Mais n'était-ce pas déjà le cas de toute manière. A l'inverse de toi je ne cherchais pas à m'enfuir, à l'inverse de toi j'étais prêt à affronter les événements passés. Soutenant ton regard toute peur avait disparue de mon être. Mes yeux étaient sombres et exprimaient une farouche détermination. Un pas, puis deux, l'espace se comblait pendant que je t'acculais contre la barrière magique. Me stoppant je t'observais, le regard grave, le regard fier. Ma carrure déployée je me rendais compte que nous étions égal en taille. Ta carrure demeurait imposante face à la mienne, mais qu'importait, je me sentais de t'affronter, de vous affronter en cette soirée. Non ! Un mot, un seul qui claquait dans les airs. Sur, adulte et qui ne laissait guère de place à une quelconque négociation tant que je n'aurais guère décidé de briser le cercle. Derek Seth Damon Hale, tu vas m'écouté que tu le veuille ou non ! Pas de menaces, par d'ordres ou rien de cette sorte. Je briserais ce cercle quand JE l'aurais décidé. Je t'observais, te fixait intransigeant. Tu m'as poussé à bout, tu m'as guère laissé l'opportunité de discuter avec toi de manière reglo. Maintenant tu assumes les conséquences de tes actes ! Je ne rigole plus, plus maintenant, pas après cette nuit de pleine lune. Les règles étaient mises en places et le décor posé. Tu ne m'a pas laissé le libre droit de m'exprimer, j'ai été patient mais j'ai aussi mes limites ! Compris ?

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MessageSujet: Re: Now you listen me ! • Sterek   Now you listen me ! • Sterek Icon_minitimeLun 10 Fév - 13:11






C'était malsain, fourbe, méchant. Et ça ne me plaisait pas. Être piégé chez moi n'était pas une expérience qui me plaisait, qui m'attirait à être en condition pour accepter quelque chose. William, loup-garou anciennement rencontré avait utilisé cette méthode pour obtenir quelque chose mais n'avait reçu qu'un moment humiliant et sauvage. Mon loup et moi-même n'appréciaient pas d'être enfermé comme un animal. Car avant d'être l'animal, j'étais l'homme. Et un homme avait sa part de liberté, était un homme libre et non enfermé sans son consentement. J'avais aussi mes libertés. Ce n'était pas parce que j'étais à moitié animal, que je partageais mon corps si je puis-le dire ainsi avec une partie, bestiale que je devais être traite comme telle. Que je devais être enfermé contre mon grès, contre mon envie. Tu n'avais pas le droit de me faire ça. Ça me rappelait trop de mauvais souvenirs. Certes, je ne sentais pas le métal des chaînes brûler la peau de mes poignets alors que j'essayais de partir de l'endroit où j'étais retenu prisonnier mais c'était tout comme, psychologiquement, je les sentais ces chaînes qui entravaient mon bon vouloir, ma liberté. Et je n'aimais pas cela. Je n'aimais pas cette situation. Je ne voulais pas être ici. Je ne voulais pas parler avec toi, pas comme ça. Tu n'auras rien en me forçant. Tu le savais et pourtant, ton 'non' fut le mot qui me le démontra.

Tu ne voyais pas mon malaise, seul ta peine te consumait. Je te dévisageais, les sourcils froncer alors que je savais que cette discussion allait nous briser tout les deux. Ce n'était pas une bonne idée. Mon instinct ne trompait pas. Il ne se trompait jamais. Mais tu insistais pourtant, utilisant la même façon de réprimander que ma mère lorsqu'elle était en vie. Ce souvenir rajouta une couche de malaise en moi alors que je continuais de me débattre contre la limite. Même attaché, même enfermé, je me battais. Même lorsque je me savais perdant je ne baissais pas les bras. Jamais. Cela était ma seule qualité. Ton regard avait changé et il m’effrayait. Car il était tellement proche de celui qu'avait eut mes agresseur et Kate lorsqu'elle m'avait kidnappé. Tu mettais en place les règles, ne me laissant aucune chance de parlementé et je n'en avais pas envie. Je voulais juste fuir. Car j'allais dire des choses que je regretterais et tu en souffrirais par ma faute. Je détournais le regard un instant avant d'ancré mes iris dans les tiens. Mon regard s'était fait comme le tien, dur et impénétrable. Je ne voulais pas te blesser mais tu me mettais en condition pour. Tu me donnais le couteau pour que je le plante. Mon grognement roula dans l'air, n'annonçant rien de bon, rien de bon pour nous, pour toi. Alors tu t’aie dis que piégé le loup chez lui, avec l'aide de Peter que je vais tuer, tu allais avoir tes réponses ? Je t'ai connu plus malin que ça Stiles. Ma voix était basse, sombre et en aucun cas amical. Il ne me laissait pas le choix. Je ne pouvais ouvrir mon cœur en ces conditions. Je n'étais pas prêt ! J'ai aussi mes limites. Mon grognement s'intensifiait mais je ne m'avançais pas vers lui, psychologiquement coincé contre les chaînes qui me retenait. Tu as dix minutes. Pas une de plus et ensuite tu me libères. Ce n'était pas une option, c'était un ordre. Car plus de dix minutes ici et j'allais perdre le contrôle sur mon loup, qui s'agitait et grondait en moi.


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Stiles Stilinski
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Stiles Stilinski
MessageSujet: Re: Now you listen me ! • Sterek   Now you listen me ! • Sterek Icon_minitimeLun 10 Fév - 16:22




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Ne vois-tu donc pas que soit toi je ne suis plus rien ? Que sans toi c'est ma fin ? Je t'en supplie regarde moi juste une fois et ose me dire que tu n'as pas besoin de moi. Moi j'ai besoin de toi car je ne suis plus rien sans toi.




Malsain et fourbe, malheureusement tu m'avais poussé à bout. Tu sais ce qui m'effrayais, je ne me reconnaissais plus ces derniers temps. Je n'entrevoyais plus le garçon plein d'énergie, toujours prêt à débiter la moindre connerie et te provoquant à souhait. Celui qui fonçait, se souciant aucunement des conséquences. Passant devant ce miroir chaque matin, je voyais un adolescent avec des centimètres en plus, des cernes sous les yeux affichant un visage bien trop sérieux. Qui était-il ? Nous avions juste de commun notre nom : Génim Stilinski, pour le reste ça m'apparaissais être un total inconnu. Etranger dans mon propre corps, ironique hein... Alors forcement je me raccrochais à la première chose qui venait. La colère. Un sentiment puissant, destructeur soit mais qui me maintenait en vie. A cet instant je me rendais compte que la colère, je la conservais en moi depuis des mois. Que j'en voulais au monde entier. Cela passait par Scott, décidément aveugle, à toi. Toi tout aussi aveugle mais en ce qui concernait d'autres raisons. Cela concernait des sentiments bien plus poussés. Tu avais pris ce que tu souhaitais et tu étais partis, m'évitant au possible et cela faisait bouillonner mon sang. Je m'en voulais d'avoir était littéralement aussi con, car fallait dire ce qui était. Aveugle, stupide et j'en passais. Que disait cette chanson déjà : Juste une dernière danse, avant l'ombre et l'indifférence. Tu me l'avais accordé, mais tu n'avais pas édicté tes règles. Tu m'avais prit en traite et je t'en voulais de ça. Pas tant que je t'ai offert ma première fois et que cela se fasse dans des conditions bestiales. Juste que tu sois partis après ton affaire, te satisfaisait de moi parce que j'étais le premier venu tout simplement. Je ne souhaitais pas être le premier venu, je voulais être celui que tu choisissais, pas cette maudite roue de secours bordel !

Je savais que c'était jouer avec le feu, j'en avais purement conscience. Feu dangereux et salvateur je l’espérais. Acculé l'animal n'était pas une bonne idée, mais la question qui subsistais était : Qui de nous deux était les plus bestial ? Il y aurait trois mois plus tôt, avant ma mort j'aurais tout parier sur toi mais là je n'étais plus sur de rien. Tout était bouleversé, j'étais juste perdu ne le voyais tu donc pas ? Je ne tressaillais pas au grognement, habitué à l'entendre rouler dans les airs. Haussant un sourcil à l'évocation du fait que j'étais malin me suffisait comme réponse pour une fois. Dix minutes... Une bataille de gagnée et ça serait largement suffisant pour moi, pour te démontrer à quel point tu m'avais traîner dans un monde de douleur et de trahison. Une minute durant je restais immobile et un sourire s'affichait en coin de mon visage. Il n'avait rien de chaleureux, bien au contraire: Alors ça fait quoi ? Juste prendre son pied un soir de pleine lune, claquer la porte et ne pas oser croiser mon regard ? Je claquais les mains en signe d'applaudissement, alors que l'intention était tout autre. Je jouais de mon sarcasme. Avant que tu donnes ton avis je vais te faire part du mien tu veux ? Pure question rhétorique. Faisant quelques pas je ne te quittais pas du regard, un regard froid et dur : Cora m'appelle ça tu connais l'histoire, inquiet je viens au manoir et je tombe sur toi ou du moins sur vous. Avec des prédispositions très enclines à satisfaire un besoin charnel. Jusque là aucun problème loin de là, on peut même dire que j'ai apprécié l'instant. C'est là que ça se complique, que j'ai été pris pour un con plus exactement. Jeté comme un malpropre, pas de nouvelles. Tu pensais que quoi Derek ? Tu pensais que comme d'habitude comme je l'ai fais si souvent je fermais ma gueule ?! J'avais confiance bon sang ! Je me suis ouvert à toi comme personne. Néanmoins pas une seule fois tu m'as laissé en placer une. Mes mains mimaient quelques gestes en passant et puis je me stoppais soudainement relevant un regard plus noir encore : Toi qui a de l'expérience en la matière, j'aurais cru que tu réitérais pas l'exploit. Mes félicitations, tu as eu ce que tu souhaitais. Alors d'après toi je dois te placer à quel niveau peut-être entre Kate et Jennifer, ça t'irais ?!

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MessageSujet: Re: Now you listen me ! • Sterek   Now you listen me ! • Sterek Icon_minitimeJeu 13 Fév - 9:11






Tu semblais vraiment prêt à tout pour avoir tes réponses. Mais tu ne comprenais pas que me les soutirer ainsi ne serait que nous blesser tous les deux, ne serait que nous emmener au plus profond du gouffre au lieu de nous en sortir ? Je ne voulais pas te blesser alors arrêtes de me tendre ce couteau. Je ne voulais pas te blesser. Laisse-moi seul. Je ne suis qu’une plais, qu’un homme avec une malédiction à mon cou. Tu as déjà oublié mon passé sentimental ? Tu as déjà oublié cette chasseuse, ce qu’elle avait fait ? Tu avais déjà oublié ce que ce monstre aux apparences d’ange avait fait ? Ceux qui sont pure ne sont que destiné à mourir près de moi. Tu ne mérites pas cela. Tu ne mérites pas un monstre. Je n’ai pas pu me contrôler, même pas pus te retirer cette virginité que tu semblais vouloir perdre de façon douce et tendre. Je te l’avais arraché, sauvagement, bestialement. Sans ton consentement. J’avais fait de toi une chaire brûlant de désir et gémissante de mes traitements sur ta personne. Alors que tu n’étais pas ce genre de personne que l’on devait abuser ainsi. Tu ne méritais pas ça. Tu méritais milles fois mieux. Alors éloignes-toi de moi. Tu trouveras quelqu’un qui te comblera comme tu le désires. Je ne serais pas cette personne. Je suis destiné à te faire du mal. Et je ne veux pas t’en faire. S’il te plaît. Tu ne le voyais pas dans mon regard cette supplication ? Non, tu ne la voyais pas. Seule ta rage comptait. Seul ton envie de vengeance, de réponse comptait. Je vais te faire du mal Stiles … Baissant mon regard, je laissais tes mots me toucher sans en dire un, m’enterrant dans mon silence, dans ma cage.

Tes mots furent durs mais je les acceptais. Tu avais tous les droits de t’énerver. J’aurais fait la même chose. J’aurais blessé mon agresseur de son ignorance à mon sujet, de m’avoir brisé tous mes espoirs, de ce jouer de moi. J’aurais été des plus violents avec lui, pour lui faire regretter. Pour lui faire comprendre toute la volonté que je voulais mettre dans ce couple inexistant. Mon loup, malgré tout grognait en moi, s’agitant en comprenant ce que j’allais faire, ce que j’allais dire. J’allais te briser. J’allais te faire me détester. Tout aurait été plus simple si tu avais tout simplement voué une haine sans fond à ma personne. Tout cela n’aurait pas eu lieu. Mais je le ferais. Je serais le monstre que tu souhaiterais mort. Tu ne serais plus blesser par moi. Je ne te ferais plus de mal. Le loup ne semblait pas vouloir là, rugissant en moi, me faisant légèrement trembler mais je devais le faire. Sinon, tu allais souffrir encore plus que tu ne souffrais déjà. Tu méritais le bonheur. Pas la souffrance à mes côtés. Je relevais mon regard, plongeant ce même regard froid et fermé que tu m’offrais. Je m’avançais vers toi d’un pas, sachant que tu reculerais automatiquement devant l’aura bestiale qui émanait de moi. C’est bon, tu as fini ? Je lui lançais une grimace de dégoût alors qu’au fond de moi, mon cœur se déchirait sous les coups de mon loup qui était devenu presque incontrôlable. Tu veux mon point de vu ? Sur tout ça ? Je désignais d’un geste de main vague l’espace entre nous deux. J’ai adoré profiter de toi cette nuit de pleine lune. Alors que j’allais devoir me rabattre sur des méthodes que tu utilises la plupart du temps, tu es arrivé. Ce fut des plus jouissant de te prendre ta virginité. Te voir t’abandonner à moi. J’avais réussis à te rendre silencieux et à t’arracher ce que je désirais depuis si longtemps, tes cris. Tu ne sais pas ce que c’était, cette sensation que je ressentais en toi. Bien mieux qu’avec toutes ses filles de joie que je payais. Car tu étais un peu comme elle. J’hochais négativement la tête, me corrigeant : Enfaite non, tu étais bien pire. Toi, tu n’as même pas été payé. Je ne voyais même pas l’intérêt de te reparler, je n’avais pas besoin de toi. Dans un sourire carnassier des plus mauvais alors que je me penchais sur toi, soufflant ces derniers mots qui signèrent la fin de mon cœur qui se décomposait comme celle du tien. Mais ne t’inquiéte pas, si tu attends tellement de nouveau contact, je viendrais te voir à la prochaine pleine lune. Détestes moi. Pars loin de moi. Soit heureux avec un autre. Laisse ce monstre que je suis payé le prix de son passé, de ce que je te faisais.

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MessageSujet: Re: Now you listen me ! • Sterek   Now you listen me ! • Sterek Icon_minitimeJeu 13 Fév - 11:57




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Ne vois-tu donc pas que soit toi je ne suis plus rien ? Que sans toi c'est ma fin ? Je t'en supplie regarde moi juste une fois et ose me dire que tu n'as pas besoin de moi. Moi j'ai besoin de toi car je ne suis plus rien sans toi.




Ne voyais tu pas ? Ne voyais tu pas que c'était dans mon instinct que de lutter ? De me raccrocher à toi ? Bordel étais-je le seul à entrevoir ce lien entre nos deux cœurs ? Pourquoi, pourquoi semblais-tu résigner à abandonner la partie alors que nous l'avions à peine débutée ? Avais-tu peur ? T'effrayais-je ? Dis moi juste pourquoi, explique moi et peut-être que je consentirais à te laisser enfin en paix. Je t'en supplie ne fais pas ça, ne détruit pas ce qui nous lie car pour cela il faudrait obligatoirement me détruire moi et certainement toi même au passage. Ne pouvais-tu donc pas pour une fois baisser ta garde ? Ne pouvais donc tu par pour une fois hisser le drapeau blanc ? Si tu utilisais toute cette énergie que tu puise pour me rejeter, que juste elle nous servait afin que l'on puisse de rapprocher, j'étais sur que tous les obstacles nous les aurions évités. Mais toi, toi tu en plaçais sur notre chemin. Volontairement tu faisais que j'étais forcé d'en emprunter un opposé au tien. Croyais tu que j'étais aveugle ? Croyais tu que je ne voyais pas tout cela ? J'étais loin d'être stupide, je n'étais qu'un coeur écorché, qu'une âme en peine, un corps en détresse. J'étais celui qui était supposé t'être destiné, celui que tu rejetais effarouchement. Que fallait-il donc pour te plaire, pour t’approcher et t'apprivoiser hein ? Aujourd'hui je perdais pied, aujourd'hui je perdais le fil, aujourd'hui je perdais la tête, aujourd'hui je me perdais tout simplement. Dans le fond ce n'était pas moi qui tu souhaitais protéger dans cette guerre, c'était toi. Tu agissais ainsi pour te prémunir, quitte à pour cela me mettre à terre, m'enfoncer la tête sous l'eau et ne laisser derrière toi que des miettes de moi. L'enfer mon cher, je le vivais et toi tu ne faisais qu'en attiser les flammes.

La décadence n'avait rien de doux, tout comme tes mots qui me frappèrent de pleins fouets. Lorsque tu te croyais au plus bas, la vie venait te prouver que davantage encore tu pouvais sombrer. Aujourd'hui c'était au travers toi, au travers l'être duquel jamais je n'aurais cru entendre cela. Figé je t'observais. La chute était douloureuse, fracassante. Cela n'était pas sans me rappeler douloureusement ce cauchemars, non tu étais pire que lui en réalité. Ce retour à la réalité était brutal et lourd de conséquences. Entendais-tu ? Chut écoute et je suis sur que tu pouvais entendre mon coeur saigner. Je lâchais prise, et tel un tsunami, le poison du mal et de la colère s'engouffrait en moi. Mes muscles se tendirent et mes poings se crispèrent. Te frapper, ça aurait été te donner raison, te donner l'avantage, hors de question. Mon aura s'était sans doute obscurcie et les signaux corporel que je devais envoyer devait emplir tes narines. La destruction me faisais passer au delà de la tristesse, je savais qu'une fois arrivé chez moi je m'effondrerais. La nuit qui s'annonçait serait rude à passer pour moi, cela serait comme un drogué rentrant en cure de désintoxication. Néanmoins pour le moment je profitais de l'adrénaline présente. Me penchant vers toi, murmurant à ton oreille avec une douceur presque inquiétante je rétorquais : Viens je t'attendrais de pieds fermes, mais l'accueil  que tu risque de recevoir, je crains qu'il ne sera pas celui escompté. Oui c'est une menace de la salope que je suis. Après tout je n'ai plus rien à perdre, je te félicite Derek Hale, la chienne que je suis apparemment va déserter ton chemin. Je te contournais d'un pas calme et passait le cercle dans lequel tu étais enfermé. De dos tournant la tête je continuais tranquillement ma confession si je pouvais le dire ainsi. En réalité je te plains. Tu es seul, sans personne. Rejetant toutes personnes gravitant autour de toi. Je suis peut-être que humain mais moi j'ai la prétention d'avoir des gens qui tiennent à moi. Et toi, tu as qui maintenant hein ? Cora ? Qui a faillit mourir à cause de toi. Peter ? Celui qui a tué ta soeur ? Si le monde te rejette le problème ne vient pas de lui, mais de toi. La vérité c'est que au delà de ma colère, j'ai pitié de toi, parce que toi qui vient de m'enfoncer en réalité tu te trouve bien plus bas que moi. En tout cas vu que tu sembles très bien te débrouiller sans moi, amuses toi bien. Je partais d'un pas tranquille, m'enfonçant dans les ténèbres, dans la nuit, aussi noire et froide à présent que mon coeur.



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MessageSujet: Re: Now you listen me ! • Sterek   Now you listen me ! • Sterek Icon_minitimeJeu 13 Fév - 17:10

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